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Tensions autour du Code Électoral au Bénin et enlèvement d’Olivier Boko :  Voici ce qui divise Talon et Boko

Tensions autour du Code Électoral au Bénin et Enlèvement d’Olivier Boko :  Voici ce qui divise Talon et Boko

La fracture semble profonde entre le président béninois Patrice Talon et son plus proche collaborateur de longue date, Olivier Boko. Selon des sources bien informées, la principale pomme de discorde serait le nouveau code électoral, promulgué en vue des élections de 2026. Depuis quelque temps, les deux hommes, autrefois stratégiquement alignés, ne collaborent plus sur les décisions politiques majeures. Chacun avance désormais ses propres pions sur l’échiquier politique.

Il se murmure que le nouveau code électoral ne conviendrait pas à Olivier Boko, figure influente du cercle présidentiel. Certains députés de la mouvance présidentielle auraient, contre leur gré, voté en faveur de ce texte, mus par la crainte pour leur réélection en 2026. Visiblement, ce nouveau code, dans sa forme actuelle, ne favorise guère l’émulation démocratique nécessaire à la vitalité du débat politique.

Un député, ayant requis l’anonymat, a confié à notre rédaction que le processus d’adoption du code électoral n’avait d’autre objectif que la préservation du pouvoir en place. Selon lui, comme lors du vote ayant rejeté la révision constitutionnelle, plusieurs élus opposés au code auraient été contraints de voter en sa faveur après une rencontre avec le président Talon. Lors de cette réunion, de nombreuses promesses auraient été faites aux députés, les incitant à soutenir le texte, bien qu’ils n’y soient pas pleinement favorables.

Par ailleurs, l’enlèvement d’Olivier Boko, selon ses avocats, soulève de sérieuses interrogations quant à sa légalité. Celui-ci serait détenu dans un lieu secret, sans que son interpellation ne fasse l’objet d’aucune procédure réglementaire conforme à la Constitution ou au Code de procédure pénale béninois. Ce manque de transparence nourrit une controverse grandissante au sein de l’opinion publique, jetant un voile sombre sur la gouvernance actuelle.

 

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Un commentaire

  1. Ce que tu as te feras. L’objet du discorde entre YAYI BONI et Patrice Talon avant 2016 tournait sauf erreur de ma part entre autres autour du 3e mandat en l’occurrence la révision delà constitution de 90. Après affaire d’empoisonnement, ensuite arrêté par la police notamment le commissaire Philippe HOUDEGNON. Enfin , fuite par la mal arrière d’un véhicule banalisé pour l’exile politique. Depuis la France , sur RFI , Il a traité de canards toutes les charges d’accusation contre sa personne.Aujourd’hui, le même scénario se répète mais seulement le feuilleton est un peu différent, supposé coup d’état en préparation puisque il revient au plaignant d’apporter les preuves de son accusation. Et pour ça, on arrête les 02 accusés comme dans un film de western, ensuite on envoie la police perquisitionner leur domicile en leur absence et maintenant on expose à la face du monde un “butin d’argent” pour tuer ses chiens. C’est enfantin le scénario. Tous les béninois savent que c’est du Canulars, du pipo, un montage bassesse d’un amateur. L’enjeu est le même comme hier avec Yayi, les élections présidentielles de 2026. Il faut éliminer comme il l’a lui même déclaré, toutes résistances , il faut les nuire, les soumettre.Mais seul Dieu d’Abraham est le plus fort. Il est un Dieu juste et équitable. Il pourvoira à un lendemain meilleur pour notre pays .

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