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Samuel Eto’o sanctionné par la FIFA : Pourquoi ?

Former Cameroonian football player Samuel Eto'o arrives for the 74th FIFA Congress in Bangkok on May 17, 2024. The 74th FIFA Congress is taking place in Bangkok with member associations voting on a range of issues including confirmation of the host nation or nations for the 2027 women's football World Cup. (Photo by Lillian SUWANRUMPHA / AFP)

Samuel Eto’o, président de la Fédération camerounaise de football, a récemment été sanctionné par la FIFA en raison de son comportement lors d’un match de la Coupe du monde féminine des moins de 20 ans. Bien que la FIFA n’ait pas divulgué de détails précis concernant l’incident ayant conduit à cette décision, les sanctions infligées à Eto’o sont liées à la violation de deux articles du code disciplinaire de l’organisation, à savoir les articles 13 et 14, qui traitent de la mauvaise conduite des joueurs et des officiels.

Contexte de l’incident

Le 11 septembre 2024, lors des huitièmes de finale de la compétition, le Cameroun a été battu par le Brésil 3-1. Cette défaite, survenue après que le Cameroun ait initialement mené au score, a marqué la fin du parcours de l’équipe camerounaise dans ce tournoi. L’entraîneur-chef du Cameroun, Hassan Bala, a critiqué l’arbitrage après la rencontre, pointant du doigt des décisions qui auraient influencé le déroulement du match.

Conséquences pour Eto’o

En raison de cette infraction, Samuel Eto’o a été interdit de toute participation aux matchs des équipes nationales du Cameroun pendant six mois. Cette suspension signifie qu’il ne pourra pas assister aux matchs de l’équipe masculine, notamment durant les qualifications pour la Coupe du monde 2026.

Un coup dur pour le football camerounais

Cette sanction arrive à un moment crucial pour le football camerounais, alors que l’équipe nationale masculine se prépare pour des compétitions importantes. L’absence d’Eto’o lors des événements officiels risque d’avoir un impact sur le moral et l’organisation autour de l’équipe, bien que sa suspension ne concerne que sa présence physique lors des matchs et non sa gestion en tant que président de la Fédération.

 

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