Pascal Irénée Koupaki, Secrétaire général de la présidence de la République du Bénin, vient d’être nommé à la tête du Conseil d’administration de l’Institut national de la femme. Cette nomination, sur proposition du président de la République, Patrice Talon, a été officialisée par décret .
Outre Pascal Irénée Koupaki, six autres personnalités ont été nommées pour siéger au sein du Conseil d’administration en qualité de membres. Parmi ces personnalités figurent la présidente de l’Institut national de la femme, Huguette Bokpé Gnacadja et Aristide Nounagnon Djidjoho, secrétaire général adjoint de la présidence de la République.
Le Conseil d’administration de l’Institut national de la femme est l’instance dirigeante de cet établissement public à caractère administratif créé pour promouvoir les droits des femmes et leur participation active à la vie économique, sociale et politique du pays. Les membres de ce Conseil sont nommés pour un mandat de trois ans. La nomination de Pascal Irénée Koupaki intervient dans un contexte où l’autonomisation des femmes est une priorité pour le gouvernement béninois. En effet, le pays a mis en place des politiques et des programmes pour renforcer l’inclusion des femmes dans le développement économique et social du pays.
L’Institut national de la femme est un acteur majeur dans la promotion des droits des femmes au Bénin. Il mène des actions en faveur de l’égalité des sexes, de l’émancipation économique et sociale des femmes et de la lutte contre les violences basées sur le genre. La nomination de Pascal Irénée Koupaki à la tête du Conseil d’administration de l’Institut national de la femme est un signal fort pour l’ensemble des acteurs engagés dans la promotion des droits des femmes au Bénin. Cela marque également l’engagement du gouvernement dans la lutte pour l’égalité des sexes et la promotion de l’autonomisation des femmes.
Dans le cadre de ses nouvelles fonctions, Pascal Irénée Koupaki aura pour mission de superviser les activités de l’Institut national de la femme et de veiller à ce que cet établissement public remplisse pleinement sa mission. Il devra également travailler en étroite collaboration avec les autres membres du Conseil d’administration pour élaborer des stratégies efficaces en faveur des femmes et de leur émancipation.