Coup d’État ou Coup Monté ? Azannai révèle les dessous d’un faux complot

Coup d’État ou Coup Monté ? Azannai révèle les dessous d’un faux complot

La scène politique béninoise est actuellement secouée par les accusations de coup d’État présumé qui aurait été déjoué en septembre 2024. Cependant, des voix s’élèvent pour remettre en question la véracité de ces événements, notamment l’ancien ministre Candide Azannaï, qui voit dans cette affaire une stratégie politique visant à neutraliser les potentiels candidats avant les élections présidentielles de 2026. Il évoque une “phobie de l’après 2026” qui semble troubler le pouvoir en place, suggérant que ce dernier cherche à sécuriser le terrain avant que l’échéance électorale n’approche.

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Une stratégie connue des régimes autoritaires

Historiquement, de nombreux régimes autoritaires ont utilisé la technique des faux complots pour créer un climat de peur et justifier la répression des opposants. Cela permet non seulement de fragiliser l’opposition, mais aussi de légitimer les actions répressives du pouvoir. En orchestrant des scénarios de coup d’État ou de complot, les autorités peuvent renforcer le contrôle de l’État, rassembler leurs partisans autour d’une prétendue menace et isoler les critiques. Le cas du Bénin semble s’inscrire dans cette dynamique, où l’accusation de coup d’État aurait davantage pour but de préparer le terrain politique avant les élections.

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2026 : Un enjeu pour le régime en place

Les élections présidentielles de 2026 représentent une étape capitale pour le régime de Patrice Talon, dont le mandat actuel devrait prendre fin. Dans ce contexte, toute opposition sérieuse représente une menace à l’ordre politique actuel. En neutralisant des figures influentes, telles que Olivier Boko et Oswald Homeky, le régime en place chercherait à affaiblir les forces qui pourraient lui faire face dans les mois à venir. Cette stratégie vise à éviter la montée en puissance d’alternatives politiques crédibles avant les élections, tout en consolidant l’autorité de Talon et de ses alliés.

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Un coup d’État improbable ou un prétexte politique ?

Candide Azannaï, dans ses déclarations, suggère que le scénario du coup d’État du 23 septembre 2024 est un montage opportuniste. Il pointe notamment le manque de preuves tangibles, ainsi que l’absence d’une réelle mise en action des forces armées. Selon lui, la mise en scène aurait été orchestrée pour justifier des arrestations politiques, tout en alimentant la peur d’une insécurité nationale. Il affirme qu’il ne s’agirait ni d’une tentative réelle de coup d’État, ni même d’un véritable projet en préparation, mais bien d’un moyen de légitimer la répression politique.

LIRE L’INTEGRALITE DU MESSAGE DE CANDIDE  AZANNAI

Le grand problème et qui écœure n’est pas la cruauté des manipulateurs des dictatures rétrogrades, ce sont l’empressement naïf et le niveau trainant à même le sol de ceux qui se pensent les plus éveillés pour éclairer et conduire les masses populaires à gober des montages enfantins, ridicules et à tout point de vue cousus de fils blancs.

Ceux – là, sont curieusement les plus audibles. Quel désastre !

Je sais, nombreux d’entre vous continuent de solliciter mon expertise sur cette affaire ” de prétendu déjouement le 23 septembre 2024 d’un présumé coup d’Etat prévu pour le 27 septembre 2024.”

Votre base de réflexion pour la formation de votre opinion jusqu’à nouvel ordre, doit être le périmètre de la déclaration publique et officielle en date du 25 septembre 2024 du Procureur spécial de la CRIET ( Cour de Répression des Infractions Économiques et du Terrorisme ) .

Vous n’avez nullement besoin d’aller loin pour vous convaincre de ce que ce 23 septembre 2024, il s’agissait d’une mise en scène à des fins inavouées en lien avec les échéances électorales de 2026 et avec la phobie de l’après 2026 qui troublent la quiétude du pouvoir déviant dit de la rupture.

Retenez une fois pour toute, qu’il n’y a ni coup d’Etat, ni tentative de coup d’Etat, ni préparatif de coup d’Etat. Et plus insolite, le prétendu complot invité comme prétexte je l’ai signé le 30 septembre 2024 dernier ne tient dans aucun de ses présupposés existentiels en l’occurrence, son secret , sa résolution, la mise en action de la force militaire dont le bras opérationnel présumé est à tout point de vue et en l’état, une utopie, du vent.

Qui parmi vous peine encore à ne pas à se former l’évidence d’un cocktail d’arnaque et de délation, d’un montage politique opportuniste ?

Veuillez lire ce livre ci – indiqué.

À défaut ou en attendant de le lire, veuillez méditer cet extrait en capture ci – dessous.