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🕵️‍♂️ Nouvelles révélations avant le procès : L’avocat de Olivier Boko dénonce un “agenda caché” 🎙️

🕵️‍♂️ Nouvelles révélations avant le procès : L’avocat de Olivier Boko dénonce un “agenda caché” 🎙️

À la veille du procès tant attendu d’Olivier Boko et Oswald Homeky, prévu pour ce mardi 21 janvier 2025, de nouvelles accusations viennent jeter une lumière troublante sur le déroulement de l’instruction judiciaire. Lors d’une interview accordée à une web radio ce week-end, Me Paul Kato Atita, avocat de la défense, a dénoncé un “agenda caché” derrière ce qu’il qualifie de procès politique et celui de la réforme du système partisan.

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Un agenda qui dépasse la justice

Selon Me Paul Kato Atita, tout dans la conduite du dossier semble indiquer qu’il répond à des motivations externes à la justice. “Ce procès suit un agenda qui n’est pas celui de la justice, ni celui de la défense, mais un agenda que nous ignorons”, a-t-il affirmé. L’avocat a également souligné que les juges, habituellement méthodiques, ont adopté une approche “extraordinaire” et précipitée, qui ne correspond pas aux standards habituels de traitement des dossiers.

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Des recours ignorés

Malgré les multiples démarches entreprises par la défense, notamment des pourvois en cassation, Me Atita déplore que ces recours n’aient eu aucun effet. Selon lui, la rapidité inhabituelle avec laquelle l’instruction a été menée et le procès programmé confirment que “le rythme imprimé à ce dossier” est suspect. Cette situation, selon l’avocat, soulève de sérieux doutes quant à l’impartialité des procédures judiciaires.

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Un procès sous haute tension

L’affaire Olivier Boko, accusé d’une tentative de coup d’État en septembre 2024, a fait couler beaucoup d’encre au Bénin et au-delà. Depuis son arrestation, la défense n’a cessé de dénoncer des irrégularités dans la procédure, allant de l’absence de preuves tangibles aux témoignages douteux. Ces révélations de dernière minute renforcent le sentiment d’une instrumentalisation politique de la justice pour écarter un opposant perçu comme une menace à l’approche des élections de 2026. Le procès de ce 21 janvier s’annonce donc comme un tournant majeur, à la fois pour les accusés et pour l’image de la justice béninoise.


 

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